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Lorsque la prochaine menace pandémique se présentera, ce qui ne manquera pas d’arriver, le Canada ne devrait pas avoir à reconstruire son infrastructure d’intervention à partir de zéro. L’initiative Réseau de réponse rapide aux variants du coronavirus (réseau CoVaRR-Net), qui a récemment pris fin, a prouvé qu’il est non seulement possible, mais essentiel, de disposer d’une équipe préparée et agile...

La Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa a obtenu une note améliorée de B — en hausse par rapport à la note de C+ de l’an dernier — dans le Bulletin 2024–2025 sur la santé planétaire, ce qui reflète des progrès significatifs dans l’intégration de la santé planétaire à l’enseignement et à la recherche en médecine.

Du 22 au 26 avril, les activités de la Semaine de la Terre à l’Université d’Ottawa ont rassemblé des membres de la population étudiante, du personnel et de la communauté locale pour promouvoir la durabilité et inspirer l’action.

L’investissement de 45 millions de dollars du gouvernement de l’Ontario dans l’infrastructure de biofabrication, par l’entremise de la Coopérative canadienne de biofabrication – qui fait partie du Pôle canadien de préparation à la pandémie (PCP2) – stimule le secteur des sciences de la vie en Ontario.

Les résultats de l’étude pourraient potentiellement contribuer au développement de cibles thérapeutiques pour les troubles de l’humeur tels que le trouble dépressif majeur.

Résumé – Le réseau CoVaRR-Net (Coronavirus Variants Rapid Response Network, c’est-à-dire le Réseau de réponse rapide aux variants du coronavirus) a servi de pont indispensable entre la recherche et la santé pour orienter les décisions pendant la pandémie de COVID-19. - Il a évalué rapidement l’effet des variants du SRAS-CoV-2 sur la population canadienne et mondiale, et découvert des moyens pou...

Une étudiante de la Faculté de médecine remporte un prix au nom de l’Université d’Ottawa lors d’un événement annuel présentant des idées de collaboration pour s’attaquer aux problèmes sociaux et de santé les plus urgents de la ville.

Le résident en psychiatrie est également l’auteur principal d’un article sur une étude qui s’intéresse aux microplastiques dans le cerveau.

La professeure Jodi Edwards s’intéresse à l’intersection entre la santé cardiovasculaire et neurologique et contribue à l’équité en santé. Les travaux de recherche de la professeure Maïka Sondarjee, eux, portent sur les relations internationales, notamment dans l’optique du complexe du sauveur blanc et des questions de genre.

Les travaux ambitieux de cette équipe internationale ont des retombées dans de multiples domaines et posent un nouveau regard fascinant sur le fonctionnement extraordinairement complexe du système sérotoninergique.