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La position du Canada dans la course mondiale à l'IA après le plan d'action de Trump
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La position du Canada dans la course mondiale à l'IA après le plan d'action de Trump

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Omer Livvarcin (Anglais seulement)

Professeur à temps partiel, École de gestion Telfer

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Les recherches du professeur Livvarcin portent sur la manière dont l'intelligence artificielle et les technologies de gestion des données peuvent être utilisées dans la société civile.

« Alors que des pays comme les États-Unis intensifient leurs stratégies en matière d'IA, le Canada doit vraiment agir rapidement pour se tailler une place qui privilégie l'innovation, l'éthique et nos intérêts nationaux. Â»


 

Jason Millar (Anglais seulement)

Professeur adjoint, Faculté de génie et directeur du Laboratoire canadien en conception éthique de la robotique et de l’intelligence artificielle

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Les travaux du professeur Millar portent principalement sur l’éthique, la politique et l’ingénierie des véhicules automatisés, de l’intelligence artificielle, de la robotique médicale et de la robotique sociale et militaire.

« En démantelant systématiquement les réglementations relatives à la sécurité de l'IA et en affichant son mépris pour le développement « responsable » de l'IA, les récentes mesures prises par Trump exposent tout le monde à un risque accru lié à l'IA américaine et chinoise existante et en pleine évolution. »


 

Timothy Lethbridge (Français et Anglais)

Professeur titulaire, École de Génie électrique et de science informatique, Faculté de génie

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Les domaines de spécialisation du Professeur Lethbridge incluent l’intelligence artificielle, l’informatique, l’internet, le génie logiciel, et le génie du Web.

« L'administration Trump encourage les entreprises américaines qui créent et exploitent l'IA, mais minimise les bouleversements économiques et sociétaux considérables qui sont inévitables. Je pense que les entreprises ne prêtent pas suffisamment attention au risque de perturbation, car elles doivent s'assurer de rester compétitives sur le marché en termes de puissance et de capacités. Le gouvernement canadien doit agir avec une extrême prudence afin de garantir que les entreprises puissent être compétitives, que le secteur public puisse tirer parti de l'IA et que des réglementations et des plans soient mis en place pour contrôler et répondre aux perturbations. Ces perturbations pourraient être considérables, avec des changements majeurs sur le marché du travail et des bouleversements économiques radicaux. Ces changements surviendront rapidement au cours des 1 à 4 prochaines années et sont très difficiles à prévoir. »


 

Nour El-Kadri (Anglais seulement)

Professeur à temps partiel, École de science informatique et de génie électrique, École de gestion Telfer

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Les domaines de spécialisation du Professeur El Kadri incluent l’intelligence artificielle, la sécurité des données, l’apprentissage en ligne été le génie logiciel.

« Si nous voulons être compétitifs en tant que nation à l'ère de l'IA, le gouvernement doit prendre l'initiative de mettre de l'ordre dans le chaos qui règne actuellement dans le domaine de l'IA au Canada. Nous avons la plupart des ingrédients, la recette, les chefs, mais il nous manque le chef cuisinier et le plan. Nous avons besoin de tout le monde et de toutes les pièces pour compléter le puzzle. »


 

Jasmin Manseau (Français et Anglais)

Chargé de cours, École de gestion Telfer

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Les recherches du professeur Manseau portent sur la manière dont les technologies émergentes en intelligence artificielle, en particulier le traitement du langage naturel et les assistants intelligents, impactent la digitalisation du travail et redéfinissent les stratégies organisationnelles.

« Le Canada pourrait tirer parti de l’élan nord-américain en faveur de l’innovation en IA. De nombreuses avancées en IA reposent sur des infrastructures partagées, des talents mondiaux et une collaboration transfrontalière. Les pôles d’IA bien établis du Canada, notamment à Toronto, Edmonton et Montréal, jouent déjà un rôle sur la scène mondiale. Un fort engagement américain pourrait catalyser la croissance et les investissements au nord de la frontière, permettant ainsi aux chercheurs, aux PMEs et aux institutions canadiennes de tirer parti de cet élan. Â»